El Mariachi, Los Lobos

C’est ma dernière News Letter. Zik Sport et Logistik continuera mais je ne pourrai plus utiliser Logistique Pepsico, pour promouvoir mes playlists. Dommages, ça catalysé la fréquentation de mon Blog.

 

Je vous remercie de m’avoir lu, et de me lire là tout de suite. Et surtout je remercie toutes les personnes qui en passant m’ont encouragé à continuer. Soit parce vous découvriez de nouvelles choses, soit parce que ça vous faisiez marrer. Ces 2 points étant les objectifs principaux de ma démarche, vos commentaires illuminaient ma journée et me poussaient à continuer.

 

Pour les amateurs de musique, je vous conseille de suivre de Nassim et Karim le mardi soir. Vous participerez à des blind test de folie, et si vous avez la chance d’être dans leur équipe, vous dégusterez du champagne à l’œil.

 

J’ai hésité à faire un article sur le Body Combat, les sujets sur les sports insolites s’épuisent. Il est possible que Zik, Sport et Logistik devienne de temps en temps Zik, Cuisine Exotique et Logistik.

Quand j’étais plus jeune j’étais expatrié à Madrid. Quand quelqu’un partait, la tradition voulez qu’on passe un morceau de Flamenco « Cuando Un Amigo Se Va » de Facundo Cabral.

C’est beau, mais c’est triste. Je suis un piètre guitariste, d’origine normande et j’ai pas de cheval, ce titre ne me correspond absolument pas. Que celui qui n’a jamais dansé sur « L’aventurier » me jeté la première pierre.

Pepsi c’est classe, c’est plein d’énergie et ça rafraichi, El Mariachi de Los Lobos aussi !

Le Défi Foly by Stella et Antoine

Le ski Freestyle c’est classe, ça déchire sa race, ça balance du gros, ça vend du rêve, ça pète, ça envoie l’pâté mais si on ne sait pas se réceptionner, eh bah ça fait mal…

Les grands champions passent des années à s’entrainer avant de se lancer dans la compétition. Ils savent que la gloire a un prix, notamment des vertèbres tassées, des traumatismes crâniens, et des ligaments croisés. Entre autres.

Seulement, l’appel de la montagne est très fort (et je sais de quoi je parle). De nombreux jeunes inexpérimentés se ruent ainsi dans les snow park, tentent d’imiter leurs idoles et finissent au sol, empêtrés dans la douleur et la honte.

Afin d’éviter les hécatombes, et sans entraver le développement de cette noble discipline, les stations de ski proposent désormais des initiations au Freestyle, et adaptent leur park à des niveaux débutant.

Mais une station est allée plus loin, en proposant à tout les riders en herbes, et même au pros, de s’exprimer et de se mesurer lors d’une compétition au cœur du domaine des Aravis, au lac des Confins.

Il s’agit du Défi Foly ! Chaque concurrent se munit d’une board, de deux skis, ou même d’un seul… et vient s’élancer sur les pentes enneigées et descendant jusqu’au lac avec pour objectif de glisser le plus loin possible à la surface de l’eau.

Le must ? La course des OGNI (Objets Glissants Non Identifiés), embarcations hétéroclites et loufoques tout droit sorties de l’imagination des équipes qui conduisent ces rafiots improbables.

Mais voyez plutôt :

Une petite voix me glisse à l’oreille qu’une compétition du même genre existe aussi, celle des OFNI (Objets Flottants Non Identifiés), d’un genre plus estival, celles ci pourraient peut être vous intéresser ?

Le positionnement d’un entrepôt

Comment avons nous choisi l’emplacement de nos entrepôts ? Bonne question ! Voici ainsi des éléments de réponse:

Le choix de l’emplacement se base d’abord sur trois contraintes monétaires :

·        Le coût du transport amont, qui représente souvent le coût logistique principal

·        Le coût de transport aval

·        Les coûts de stockage, ils varient considérablement en fonction de l’emplacement géographique, le facteur principal étant le prix du mètre carré

L’entrepôt répond également à une stratégie commerciale. Un entrepôt de distribution doit permettre la livraison dans les délais définis dans les conditions générales de vente.

La zone qu’alimente un entrepôt s’appelle une zone d’achalandage.

L’optimisation du positionnement d’un entrepôt répond donc à la question suivante : à partir du moment où nous pouvons/devons livrer nos clients dans les délais contractuels, où devons nous positionner notre entrepôt pour que les trois contraintes monétaires soit minimalisées ?

Pour répondre à cette question il existe deux méthodes : la méthode des barycentres et la méthode de centration.

La méthode des barycentres :

Chaque point de livraison est défini selon sa latitude (X), sa longitude (Y) et son tonnage (ou volume) de livraison (P). Chaque latitude et longitude est pondérée en fonction du tonnage correspondant. On additionne d’un coté les longitudes et de l’autre les latitudes toutes deux pondérées, et on divise chacune des deux sommes par le tonnage total. On obtient la latitude et la longitude idéale de l’emplacement où positionner son entrepôt.

Latitude = X1 x P1 + X2 x P2 + X3 x P3

                                P1+P2+P3

Longitude = Y1 x P1 + Y2 x P2 + Y3 x P3

                                P1+P2+P3

La position de l’entrepôt est ensuite ajustée de quelques kilomètres en fonction des opportunités de stockage de la zone choisie (coût de stockage, accessibilité).

La méthode de centration :

 

Cette méthode à pour objectif de sélectionner l’emplacement situé à proximité d’un point de livraison en fonction de la distance entre les différents points de livraison et du nombre de livraison par client.

Soit A, B, C et D les points de livraison. Soit X le nombre de livraisons par point.

On calcule ensuite pour chaque emplacement le nombre de kilomètres parcourus.

Localisation en A

AB x Xb + AC x Xc + AD x Xd

Localisation en B

BA x Xa + BC x Xc + BD x Xd

Localisation en C

CA x Xa + CB x Xb + CD x Xd

Localisation en D

DA x Xa + DB x Xb + DC x Xc

 La localisation choisie est celle dont la somme des distances pondérées parcourues est la plus faible.